Feu d'artifice

18 juillet 2008

Nous nous installons donc tranquillement sur le parvis de l'église. Je confie le trépied à ma femme, c'est à son tour de jouer avec ce soir (elle aussi a son FZ18 !)

Moi, je repère un bloc de pierre taillé qui sera parfait pour prendre des clichés.

Nous brûlons le temps à prendre des clichés de crépuscule dans différents points de vues, grand angle, zoom , tout se passe bien. Juste une inquiétude sur un arbre à droite du parvis qui risque de masquer le feu de Bordeaux (Je vous rassure, il a VRAIMENT tout masqué !)

Voici un autre coucher de soleil pris avec le zoom en direction de l'église Saint-Michel (le clocher) et la Grosse cloche (la lumière bleue). C'est bon les photos de près fonctionnent aussi.

23h sonne à l'horloge de l'église derrière nous et le spectacle est à l'heure !

Voilà que part dans le ciel quatre feux d'artifice d'un coup. La vue est fabuleuse depuis là haut, mais question photo c'est plutôt la panique !

Quoi prendre ? Qui choisir ? A gauche ? A droite ?

Bon, une tentative de vue générale. Sur le moment, j'ai trouvé çà bien mais le résultat à la maison m'a appris l'humilité ...

Voici donc une vue d'ensemble. Si, si c'est bien 4 feux que l'on voit en même temps. Regardez les quatre tâches de couleurs au dessus de la ville.

Bon, je vous l'accorde, il faut une bonne imagination pour déceler des feux d'artifice. (PS, pour la guerre en Irak, ils ont dû prendre les photos de l'endroit où nous étions car j'ai le même résultat...)

Ensuite, j'ai tenté de zoomer et de choisir une cible puis de passer à une autre quand ça se calmait.

Difficile sans pied de garder une position fixe. Donc BEAUCOUP de déchets...

Allez, un peu d'enthousiasme : OOOH, la belle bleue !!!

Bon, c'est vrai que le spectacle était grandiose : 7 feux d'artifice se sont succédés sur près de 45 mn.

Bien sûr, le grand arbre de droite nous a totalement masqué le feu de Bordeaux, le plus près de nous. Quand ça veut pas...

Allez une p'tite dernière pour la route...

Moralité : la prochaine fois, on en choisira qu'un seul

PS : le plus drôle, c'est que derrière nous se tirait celui de Bouliac qui nous éclairait et nous n'avons ni l'un ni l'autre pris des photos de celui là.